Aujourd’hui, laissez moi vous parler de Simone de Beauvoir.
Parceque j’aime les femmes, leurs tempéraments, leurs caractère et leurs sensibilités.
Alors pourquoi ne pas vous rédiger un article sur ces femmes de caractères, qu’elles ait eu une vie dramatique ou heureuse. Qu’elles soient icônes ou juste de passage dans une pèriode de l’histoire. Des lignes d’écriture pour nous évader un peu et peut être en apprendre plus sur des noms qu’on entend mais dont on ne sait rien?
Simone de Beauvoir, Philosophe libre.
<< On ne nait pas femme : on le devient. >>
Ces mots sont ceux de Simone de Beauvoir,une femme libre, de caractère et rêveuse.
Des mots de jeunesse traduit très tôt, par son envie de s’exprimer à travers l’écris.
La naissance d’une femme de caractère
Née à Paris le 9 janvier 1908, Simone de Beauvoir, jeune Parisienne, manifestes très tôt son avancé intellectuelle, sans savoir qu’elle deviendrait une grande figure du XXème siècle.
Enfant, lors de ces vacances, l’air de la campagne lui inspire une vie <<hors du commun>>.
Mais son enfance sera marquée par la relation de ses parents qui la fera souffrir.
A son époque, dans son milieu, il est indécent de faire des études poussées. Mais son père, amoureux de théâtre, fut convaincu que ces filles devaient aller plus loin dans leurs cursus scolaire.
Il regretta une période que sa fille Simone ne fut pas née homme, car pour lui elle avait un cerveau masculin.
Sa mère, très pieuse, fut abattue de son émancipation intellectuelle à 14 ans, lorsqu’elle perd la foie.
A quinze ans, elle confirme son choix, elle sera une écrivaine célèbre.
La naissance de la Philosophe
Après l’obtention du BAC en 1925, elle choisit une licence classique au lieu de la philosophie pour obéir à ses parents.
Ses études supérieures débutent alors pars les mathématiques et les lettres. Mais Simone est une jeune femme de caractère qui sait s’affirmer. Après avoir obtenue les certificats de mathématiques littérature et latin, elle suit les cours de philosophie. En 1927, le certificat de philosophie générale lui revient en main. Par la suite, la licence des lettres mention philosophique, le certificat d’éthique et de psychologie s’ouvriront à elle. Elle finira son cursus avec l’écriture de mémoire pour le diplôme d’études supérieures.
Cette page d’évolution de savoir, va se transformer en page de romance. À son entrée à la faculté des lettres de l’université de Paris, elle rencontre d’autres jeunes intellectuels. Dons Jean-Paul Sartre, avec qui leur relation deviendra mythique, dites libre et égalitaire.
Elle sera reçue en deuxième place, juste derrière son bien aimé, au concours d’agrégation de philosophie.
La naissance du professeur
Avant de devenir écrivaine confirmé, elle prit place en tant que professeur de philosophie. Pendant deux ans, elle enseigne ce qu’elle aime dans un lycée Parisien en tant que professeur agrégé. <<Maintenant j’étais là, sur l’estrade, c’est moi qui faisais le cours>>, elle voit se début de carrière comme une libération.
Puis vint l’angoisse d’être séparé de Sartre, en effet, elle fut nommé pour un poste à Marseille alors que lui, est nommé au Havre.
Il lui demande de l’épouser pour pouvoir obtenir un poste dans le même lycée. Son amour pour lui ne surpasse pas son amour pour la liberté.
<<Il m’eût paru artificiel de chercher dans l’absence une liberté que je ne pouvais sincèrement retrouver que dans ma tête et mon cœur. >>, elle refusa son offre.
Par chance, l’année suivante, un poste à Rouen s’ouvrir pour elle, elle se rapprocha donc de son amant.
L’enseignante conteste toute idée de bissexualité malgré les liaisons entretenues avec certaines et certains de ces étudiants. Ses dernières biographies engageront de longues discussions sur ce sujet.
Elle obtient enfin un poste à Paris, qu’elle garde environ trois ans. Mais ce poste lui échappe suite à une liaison avec une de ces élèves de seize ans. C’est dans cette même période, dans les alentours de 1937, que son premier Roman fut refusé par deux maisons d’édition, il sera publié alors plus tard en 1979.
Son deuxième roman sort en 1943, celui-ci parle de sa relation avec Jean-Paul Sartre, sous forme d’imaginaire.
Une plainte pour « incitation de mineure à la débauche » apparait en 1943 et mettra fin à sa carrière d’enseignante par la révocation de l’éducation national. L’écrivaine démentira cette relation comme « amicale » dans ces mémoires bien plus tard.
Sa carrière va ensuite se tourner vers des émissions de musique à travers les époques. Elle s’installe avec Sartre à Saint Germain des prêt, mais garde sa liberté avec ça chambre personnelle.
En 1945, l’éducation nationale la réintègre, mais De Beauvoir n’enseignera plus jamais.
La naissance de la communiste
Un groupe d’intellectuel se forme avec Simone, Sartre et d’autres personnes, la revue « les temps modernes » est créé. Il a pour but de faire connaitre l’existentialisme à travers la littérature contemporaine. Malgré cette revue, elle continue son œuvre personnelle. Elle écrira plusieurs romans et essaie où elle parle de son engagement pour le communisme et l’athéisme.
Puis elle connaitra enfin une revanche de liberté en prenant son indépendance financière, elle se consacrera désormais uniquement à sa carrière d’écrivaine.
Ses nombreux voyages lui font rencontrer les plus grands personnages communiste tel que Fidel Castro, Che Guevara, Mao Zedong ou encore Richard Wright.
Toujours en quête d’aventure en parallèle de sa vie philosophique, une relation passionnée avec Nelson Algren qui durera 15 ans voit le jour.
En 1949, l’artiste littéraire va connaitre son plus gros coup avec le livre « deuxième sexe ». Des articles apparaissent dans les plus grands journaux et font le scandale au Vatican. Le livre est traduit dans plusieurs langues et vendu à l’international. Elle y décrit une société qui maintient la femme en infériorité, elle deviendra donc une figure emblématique du féminisme.
Son livre parle d’une analyse à travers les mythes, civilisation, religion, mais le plus gros scandale né lorsqu’elle parle de maternité et d’avortement.
L’ascension de la féministe
Le début de l’écriture de son autobiographie débuta en 1958, elle y décrit son milieu bourgeois rempli de préjugés et de traditions avilissantes. Elle y explique également le moyen d’en sortir, en dépit de sa condition de femme à cette époque.
Bon nombre sont les livres qui suivront, ces actions de militantisme et ces plaisirs amoureux. Simone de Beauvoir dénonce, raconte et choc à travers ces écris. Une vie de philosophe, militantisme, féminisme, communisme et écrivaine qui s’arrête le 14 avril 1986 ou l’écrivaine iconique pousse son dernier souffle.
Personnage à part entière, à travers ces tournants de vie et d’amour raconté avec des personnages fictifs, on se souvient de cette femme de caractère comme une grande icône qui aura marqué le mouvement féministe.
